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novembre 23, 2023
Les benzodiazépines créent une dépendance, par conséquent il ne faut pas les utiliser à la légère.
La réussite est la mesure de tout à notre époque. Pour y parvenir, l’homme sacrifie son temps, mais aussi sa santé. C’est devenu normal d’avoir deux emplois ou plus pour pouvoir s’assurer une sécurité matérielle. Tandis que certains sacrifient même leurs week-ends et leurs vacances par peur de perdre leur poste de travail. Poussés par la pression dans un monde moderne aussi dur, les relations familiales et les valeurs morales sont refoulées au second plan.
Même si nous sommes conscients que la solution essentielle au problème consiste à modifier le système de valeur, beaucoup d’entre nous préfèrent choisir la voie la plus facile. Et se confrontent au stress et aux défis quotidiens, se tournent vers la « petite » aide de la chimie. C’est-à-dire qu’ils recherchent des substances qui réduisent artificiellement le stress et créent un semblant de bonheur.
Que l’abus des médicaments soit devenu, au cours des dernières années, non seulement un problème sanitaire mais aussi socio-économique, témoigne le fait que plus de 5% de la population mondiale est dépendante aux anxiolytiques. La situation est également préoccupante en Serbie. Selon les données, plus de 120.000 personnes dans notre pays consomme au moins un type de tranquillisants. Alors que le nombre de personnes non répertorié est bien plus grand.
La clinique Dr Vorobjev voue dévoile comment se développe la dépendance aux benzodiazépines.
Les benzodiazépines créent rapidement une dépendance
Les benzodiazépines les plus couramment utilisées sont bensedin, bromazépam, lorazépam et clonazépam. Étant donné qu’elles agissent sur le système nerveux central, elles sont utilisées pour apaiser l’anxiété, les tensions, les spasmes musculaires, les crises d’épilepsie, les troubles paniques, l’insomnie.
Compte tenu de leur large domaine d’action, il n’est donc pas surprenant qu’elles soient présentes dans quasiment chaque armoire à pharmacie familiale. Comme tous les médicaments, elles doivent être utilisées uniquement sur avis médical et durant une courte période. Cependant, en raison de leur accessibilité facile, la plupart des gens les prennent en automédication.
Bien qu’il s’agisse de médicaments, les benzodiazépines créent la dépendance.
Au bout de seulement 4 semaines d’utilisation régulière, on peut remarquer que la dose initiale n’est plus suffisante. Ce qui signifie que le corps a crée une tolérance, il est donc indispensable d’augmenter les doses pour que le médicament apporte les mêmes effets qu’au début. Dès 3 mois de consommation une dépendance chronique se crée avec des conséquences visibles. Ce processus est même accéléré si le médicament est pris en association avec d’autres substances psychoactives.
Comme les benzodiazépines sont classées dans le groupe de médicaments, les gens qui les utilisent ne sont pas conscients des dangers que provoque leur abus. Ils viennent demander de l’aide que lorsque le problème est déjà ancré de manière à affecter négativement tous les aspects de leur vie, mais aussi ceux de leur famille.
La dépendance physique et psychique aux benzodiazépines
Croyez-le ou non, les scientifiques ont découvert que les benzodiazépines créent une dépendance semblable à celle des opioïdes durs. En effet, elles modifient la structure et la fonction de certains récepteurs dans le cerveau, entraînant un afflux de dopamine. Ce qui augmente le désir d’en reprendre. Cela accélère le passage d’une utilisation occasionnelle à une dépendance dangereuse.
La dépendance physique est l’habitude que le corps développe à avoir une présence constante du médicament. Et si le médicament n’est pas repris à l’heure habituelle, une crise de manque se manifeste. Les symptômes de la dépendance physique sont une anxiété accrue, une irritabilité et l’agressivité, la peur et l’insomnie. Ils sont suivis d’une perte d’appétit, de nausées, de maux de tête, de douleurs musculaires, des palpitations cardiaques, de transpiration au niveau des paumes des mains, tremblements des mains et de problèmes de concentration.
La dépendance psychique est, en fait, la peur de ne pas prendre le médicament, c’est-à-dire rester sans la dose quotidienne nécessaire.
La guérison est possible !
Tout comme pour le traitement de la toxicomanie, pour le traitement de cette forme de dépendance la première étape décisive réside dans la volonté de la personne à faire face au problème. La deuxième étape, non moins importante, consiste à choisir l’établissement adapté pour la désaccoutumance.
La clinique Dr Vorobjev est un établissement accrédité pour le traitement des maladies de dépendance avec une équipe renommée de médecin et de psychiatres spécialisés. Grâce à une expérience de plusieurs décennies dans ce domaine, non seulement la guérison est garantie, mais ils permettent de découvrir le problème qui est à l’origine de la maladie.
La désintoxication indolore
Le traitement commence par un diagnostic précis de l’état de santé du patient, ainsi que par des informations clés sur l’utilisation du médicament, telles que le moment, la quantité et la durée de l’utilisation… Ce n’est que lorsque le degré de la dépendance est déterminé que commence le programme de désintoxication.
C’est la partie la plus difficile car la désintoxication entraîne des symptômes indésirables, il arrive donc souvent que les patients renoncent au traitement à cause d’eux. Afin d’éviter non seulement le mauvais côté de la désintoxication, mais aussi le risque d’interruption du traitement, la clinique Dr Vorobjev effectue la désintoxication rapide et indolore.
Le traitement de la dépendance psychique commence que lorsque l’état physique se stabilise. Grâce aux procédures de psychothérapie médicale de pointe, le désir d’une nouvelle consommation des médicaments est éliminé et l’équilibre mental est rétabli.
Même lorsque les deux semaines de traitement à la clinique sont terminées, le soutien après le traitement se poursuit afin de permettre au patient de se réadapter et de socialiser à nouveau.
Les benzodiazépines créent une dépendance qui peut nuire et mettre en danger votre vie. Alors, laissez-nous vous aider !
Publié le novembre 23, 2023
équipe de la clinique du Dr Vorobjev